À manosques, dans une vie conforme saturé de réseaux invisibles et d'indications ambiantes, une pétard étrange s’était mise à tomber chaque nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation numérique, notamment une encre formée d’algorithmes https://cristianokcrg.ezblogz.com/65841458/la-guiche-en-pureté