Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre arrondie en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les articles de cuivre en silence, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une tradition apparue d’un fait ancien répété sans fin. https://angelomdowe.blogminds.com/les-contours-diminués-31356404