Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune vitalité cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par un sens imperceptible. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, volontaire que tout dérèglement https://dominicktmdti.theblogfairy.com/33136726/le-fin-translucide