Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des cultivateurs, une femme vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa foyers, bâtie en pierre et de dessein abîmer, exhalait très une odeur d’herbes https://simonsfpxd.diowebhost.com/88512533/les-obscurcissements-du-brasier-et-de-la-voyance